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Une entrevue avec Jacques Matte
à la tête du Fetival depuis plus de 25 ans

 

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JOUR 4
MARDI 28 OCTOBRE 2008
Photos: Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue

DES FILMS PRÉSENTÉS BIEN AVANT LEUR SORTIE EN SALLE
DE TRÈS BONS COUPS DU FESTIVAL

Malgré la féroce compétition entre festivals pour avoir la chance de présenter les meilleurs films de la planète, le Festival a réussi de très bons coups. Il y a eu le film d'ouverture MOSCOW, BELGIUM qui sortira seulement au printemps prochain. Puis, lors de la matinée familiale de dimanche, le long métrage d'animation MIA ET LE MIGOU qui sortira en France qu'en février 2009. Enfin, hier soir, c'était GOMORRA qui sortira uniquement qu'au printemps.

Mais ce mardi soir, le Festival n'est pas en reste de bons coups avec la présentation aux festivaliers de la coproduction Allemagne-Suisse-Kazakhstan-Russie TULPAN. Un film important, déroutant, qui se passe au Kazakhstan. Ce long métrage fut suivi d'un autre que le Festival est très très fier d'offrir aux cinéphiles d'ici: la coproduction Brésil-Italie ESTÔMAGO. Une comédie aux images hallucinantes.

 

 

LE VINAIGRE
La réalisatrice Joëlle Hébert était très heureuse de présenter en première mondiale son court métrage LE VINAIGRE au Festival mardi soir. "Je suis super contente. Merci au Festival d'avoir programmé mon film. C'est particulier parce qu'il y a un an, je suis venu présenter mon projet et j'espérais revenir le présenter une fois fini. Alors, c'est mission accomplie", a raconté sur scène la réalisatrice qui a eu peu de moyens pour produire sa fiction.

 

 

UNE JOURNÉE EN COMPAGNIE D'ANIMAUX SAUVAGES
Des invités du Festival ont passé une journée de rêve au Refuge Pageau à une centaine de km de Rouyn-Noranda. Parmi ces chanceux, plusieurs personnes du documentaire BOMBARDIER, SUR LES SENTIERS DE MA FAMILLE: la réalisatrice et nièce du président de Bombardier Nathalie Bissonnette, la productrice Ginette Petit et Isabelle Bombardier. Toutes sont revenues enchantées de leur voyage. Tout comme les réalisateurs Français Bernard Nauer (FESTIVAL) et Thierry Guedj (MAUVAISES HERBES). Présent aussi en pleine nature témiscabitibienne, Claude Lemieux du Festival du film de Tremblant.

Ils ont pu voir, entre autres, des orignaux et un castor. "Même si je n'aime pas ces petites bêtes qui détruisent les routes, le petit castor était vraiment sympathique, a expliqué le conducteur du Festival Jean Boivin. Il venait me voir tout le temps. C'est comme s'il avait senti que j'étais forestier et qu'on avait des intérêts communs. On a appris plein de choses sur la faune. Par exemple, même si le temps de la chasse se termine, la saison n'est même pas encore commencé, car le temps froid a commencé seulement cette semaine." Les invités touristes ont quand même pu apprécier certaines scènes des préliminaires avec trois orignaux mâles cherchant à séduire deux femelles.

 

 

DES OPPORTUNITÉS POUR LES ACTEURS
Présent lors de la projection gratuite de NITRO au centre-commercial Place Rouanda, l'acteur Guillaume Lemay-Thivierge a rappelé aux nombreux spectateurs que c'est grâce au Festival s'il a obtenu le rôle dans ce film. En effet, c'est à Rouyn-Noranda que l'acteur a rencontré le réalisateur Alain Desrochers et que le déclic c'est fait pour travailler ensemble.

 

 

QUELQUES INGRÉDIENTS DU SUCCÈS
La journaliste du Devoir Odille Tremblay, de retour à Montréal, a raconté sur les ondes de Maisonneuve en direct quelques éléments expliquant le succès du Festival: "Hier, je suis allé visiter le Refuge Pageau d'animaux sauvages." Pour la journaliste, il ne fait aucun doute que ces activités en marge du Festival [visites de mines, excursion de chasse, etc.] sont des points forts de l'événement témiscabitibien. Elle a aussi admise à l'animateur Frédéric Nicoloff que des découvertes cinématographiques sont toujours possibles même pour une cinéphile qui couvre le festival de Cannes. "Comme des journalistes de l'extérieur restent parfois que quelques jours, des premières sont programmés la fin de semaine. Par exemple, avant de visiter le Refuge de Michel Pageau, j'ai vu la première du documentaire consacré à sa fille qui prend le relais du père."

Un peu plus tôt, toujours sur les ondes nationales de la radio de Radio-Canada, le président du Festival Jacques Matte a précisé que l'Abitibi-Témiscamingue possède des avantages pour attirer des invités d'Europe malgré les frais de logistiques élevés et les préjugés. "On a un double défi pour convaincre les Européens de venir au Festival. Un: il faut les attirer en région. Deux: quand vient le temps de vendre le nom Abitibi-Témiscamingue, ça prend du souffle."