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DES DÉPÊCHES
DU 26e FESTIVAL

 

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Une entrevue avec Jacques Matte
à la tête du Fetival depuis plus de 25 ans

 

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JOUR 6
JEUDI 1er NOVEMBRE 2007
Photos: Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue, Julie Lacasse

IL Y A BIEN DES OPPORTUNITÉS POUR VENIR AU FESTIVAL
«J'étais venu il y a 11 ans, explique Martin Bilodeau qui est cette année membre du jury du prix Communications et Société avec Jules Arsenault et Joan Déry. J'avais bien aimé ça, mais je ne pouvais pas revenir. C'était toujours ma collègue Odile Tremblay qui venait», se désole le collaborateur au quotidien Le Devoir. Encore cette année, c'est Odile qui a fait ce qu'elle devait pour le quotidien. Est-ce que le rédacteur en chef de Mediafilm trouvera le moyen de couvrir le 27e Festival l'an prochain? À suivre.

JONAS ET RÉAL V. BENOÎT, MÊME COMBAT
«Je suis impressionné, commente le chanteur témiscabitibien Réal V. Benoît quelques minutes à peine après la projection du documentaire Jonas: la quête. C'est bien fait. Il y a de l'argent derrière ça. J'espère qu'il n'est pas en compétition avec nous autres. Mais il vit les mêmes difficultés que nous, les mêmes frustrations, poursuit le chanteur en parlant aussi au nom de son imprésario Claude R. Knight. Sauf que c'est à un autre niveau. C'est plus gros. Mais je suis fier de voir un Québécois et aussi une Québécoise qui le pousse. Il n'y a pas juste Hydro-Québec dont on peut être fier au Québec!»

UN BALLADEUR C'EST COMME UN CONDOM
Pour comprendre les films en langue étrangère, le Festival offre aux spectateurs des balladeurs pour entendre une traduction simultanée. Jolyne Lalonde, préposée pour en faire la distribution avant la projection, voyant qu'une spectatrice hésitait à en prendre un et voyant la file de gens qui attendait derrière la dame décida d'accélérer sa prise de décision: "Vous savez madame, un balladeur c'est comme un condom. C'est toujours pratique d'en avoir un avec nous. Ça ne prend pas de place et on ne sait jamais quand on peut en avoir besoin." La dame n'a plus hésité une seconde et en a pris un. On sait toujours trouver les bons mots au Festival. 

UN AUTRE EMPLOYÉ DU MOIS
Gérard Bryselbout, directeur technique au Théâtre du cuivre, est un de ces employés exceptionnels de la salle de spectacle et qui travaille souvent dans l'ombre. Hier matin, deux minutes seulement avant le début des projections du volet jeunesse, une mère demande si c'est possible de surélever son enfant légèrement handicapé pour qu'il puisse bien voir. En moins d'une minute, Gérard a défait une chaise pour apporter un cousin à la mère. Parlez-moi d'un employé dévoué.

UNE PETITE FILLE IMPRESSIONNÉE
Rachel Lortie a le tour d'animer le volet jeunesse du Festival. "Bonjour en haut!" Les enfants répondent bonjour. "Bonjour en bas!" Les enfants crient bonjour. "Bonjour tout le monde!" Les enfants hurlent bonjour. "J'aimerais qu'on salue Marie, la petite-fille de Nathalie Albert, une ancienne coordonnatrice du Festival", demande Rachel Lortie à 720 jeunes qui se mettent à hurler le nom à tue tête. Comment on se sent quand 720 jeunes hurlent son nom? "Bien là. J'en revenais pas", nous confia la jeune Marie un peu plus tard. Effectivement, on le serait à moins.