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DES DÉPÊCHES
DU 26e FESTIVAL

 

JOUR 1

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JOUR 4

JOUR 5

JOUR 6

 

Une entrevue avec Jacques Matte
à la tête du Fetival depuis plus de 25 ans

 

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JOUR 3
LUNDI 29 OCTOBRE 2007
Photos: Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue, Julie Lacasse

LES MARCHES ORANGÉES DU TDC
C'est le Festival qui a donné le goût au Témiscamien Yves Fortin de faire du cinéma. «C'est la 10e fois que j'ai le plaisir de monter les marches orangées de Rouyn-Noranda, a rappelé d'entrée de jeu le producteur de La belle empoisonneuse avant de se mettre à questionner les spectateurs. Combien d'entre vous étaient présents pour voir mon court métrage 24K sur l'insémination d'une vache lors de la toute première édition du Festival?» Des mains se lèvent timidement dans la salle, avec des rires. «Deuxième question, combien n'étaient pas nés?» Le tiers de la salle lève la main. «Ah! je m'en doutais. La relève est bien assuré.» Pour sa part, le réalisateur Richard Jutras a d'abord voulu confirmer les talents d'Yves Fortin: «Je ne pouvais pas être entre de meilleurs mains pour la production de mon film. Aussi, je suis très heureux d'être ici à Rouyn-Noranda. On n'est pas perdu dans 3000 films. Mais j'ai vu la qualité des autres et je me suis dit: Oups! la marche est haute!» Finalement, Isabelle Miquelon (oui, oui, la blonde de Pierre Lambert dans Lance et compte) a pris la parole avant la première nord-américaine du long métrage: «J'espère que la magie va s'opérer pour vous ici ce soir. Bonne soirée!»

 

DES PREMIÈRES VISITES
«Merci d'être là aussi nombreux, a souligné le réalisateur de Gratte-papier Guillaume Martinez. C'est mon premier film. Je voudrais dire merci pour la place que le Festival donne au court métrage. Et je voudrais encore une fois dire merci au Festival car c'est la première fois que je viens au Québec et c'est grâce au Festival. J'en suis extrêmement reconnaissant.»

Pour Karine Vanasse, c'est une première visite au Festival et aussi en Abitibi-Témiscamingue. La comédienne rencontrait cet après-midi des cinéphiles à l'Écran Radio-Canada au centre commercial Place Rouanda où on pouvait voir gratuitement son film Sans elle. Il y avait évidemment foule pour voir la très jolie comédienne. On a rajouté des chaises, mais d'autres sont restés debout comme ce gars, un peu timide, qui a passé tout le long du film à demander discrètement à Jean-Sébastien Matte, programmeur informatique au Festival: «Est-ce que je vais vraiment pouvoir me faire prendre en photo avec elle?» Et le moment venu, comme une vingtaine d'autres admirateurs, il a pu se faire prendre en photo avec l'actrice qui ne s'est jamais douté qu'il était un grand «fan» tellement il jouait l'indifférent. Hum, un bon acteur lui aussi.

 

CAROLE LAURE AU REFUGE PAGEAU
Carole Laure a profité de l'avant-midi pour se rendre au célèbre Refuge Pageau d'Amos où elle a pu flatter un orignal. «J'arrive d'une visite où j'ai vu des loups et des orignaux, a raconté la réalisatrice aux spectateurs tout juste avant la projection de La capture. Je suis très impressionnée. Il y a des animaux dans mon film, mais pas de loup ni d'orignaux. Je suis heureuse d'être ici cet après-midi. Je pensais qu'il n'y aurait pas beaucoup de monde en après-midi, mais non, il y a beaucoup de monde, il y en a plein. C'est génial! J'ai hâte de revoir mon film avec un public d'ici.»

 

DAVID BOUTIN ET SYLVIE ROSENTHAL NOUS PRÉSENTE SUPER PHOENIX
«C'est la deuxième fois qu'on a la générosité de m'inviter au Festival», a souligné la réalisatrice Sylvie Rosenthal. «Merci de nous avoir invité ici», a renchérit le comédien David Boutin.

 

HISTOIRE DE TOURISTES TRÈS SATISFAITES
«À chaque fois qu'on entendait parler du Festival, c'était toujours des commentaires positifs, explique Denise Lanouette de Montréal. Alors, on s'est dit, ma soeur Francine de Québec et moi, pourquoi on y va pas? Au départ, on a eu de la difficulté à trouver des chambres d'hôtel. Dès septembre, c'était déjà complet partout. Mais quand on a découvert les forfaits du Festival, tout s'est arrangé. Sur le coup, on trouvait ça un peu cher, mais quand on voit tout ce que ça comprend: l'hôtel, les repas, les activités, les projections, les transports...

Les films sont tous présentés à la même place, on n'a pas à changer de cinéma contrairement à ce que l'on connaît à Montréal. On ne se casse pas la tête. Tout est bien organisé. Et j'adore cette formule où on change de restaurant à chaque repas. On pensait qu'on allait manger toujours dans la même salle, mais faire la tournée des bons restaurants de la ville comme ça permet de découvrir la ville d'une façon sympathique. Ma soeur commence déjà à connaître les principales rues. Puis le hasard nous met en contact avec bien des personnalités. Hier, les journalistes Michel Coulombe de Radio-Canada et Odile Tremblay du quotidien Le Devoir sont venus manger à notre table. Tout comme le photographe de l'affiche du film de Richard Desjardins. J'espère qu'on va voir Kathy Robertson, l'employé du Festival qui s'est occupée de notre forfait. Elle a été tellement gentille. Puis une fois notre forfait acheté, l'Hôtel et le Festival font un suivi. On nous a donner une vignette offerte pour les touristes par la ville pour ne payer aucun stationnement. Les forfaits, c'est l'idéal: c'est zéro problème! C'était ma première fois au Festival. On va revenir.»