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23e Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue

Récompenser avec couleur les courts et moyens métrages!

(13/10/04) Depuis 20 ans, Télébec et le Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue collaborent afin de mettre en lumière l'originalité des courts ou des moyens métrages, d'où le Prix Télébec. Accompagné d'une bourse de 1 000 $, le prix est remis par un jury composé de trois cinéphiles de la région au réalisateur du film s'étant le plus distingué.

Du 30 octobre au 4 novembre, ces trois cinéphiles auront l'agréable mission de visionner tous les courts et moyens métrages présentés dans le cadre de la 23e édition du Festival. Plus de 24 films sont en lice pour l'obtention du Prix. L'objectif est de taille: ils devront déterminer, grâce à leur jugement et à leur sensibilité, quel film s'est le plus démarqué pour sa qualité, son sujet et son traitement. La remise du prix aura lieu lors de la soirée de fermeture, le jeudi 4 novembre. L'année dernière, le film Merci! de la réalisatrice belge Christine Rabette a su charmer le jury.

Un jury: trois cinéphiles qui ont à coeur l'art et la région

Diplômée de l'UQAT en sciences sociales, en administration et en animation, Danielle Simard oeuvre dans le développement économique depuis son arrivée à Rouyn-Noranda en 1989. Elle est membre de plusieurs comités locaux ou régionaux à caractère touristique et économique. Son côté créatif et imaginatif trouve satisfaction dans le domaine des arts visuels puisqu'elle s'adonne à la peinture depuis maintenant trois ans et terminera sous peu un certificat en arts plastiques. Ses racines sont abitibiennes et elle croit fermement qu'on peut s'épanouir autant personnellement que professionnellement dans notre région.

Natif de Rouyn-Noranda, Jean-Philippe Balaux-Veillette est titulaire d'un baccalauréat en études cinématographiques de l'Université Concordia et d'un second en multimédia interactif de l'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue. Durant ses études universitaires, il attaque déjà le milieu du travail en obtenant plusieurs contrats pour la production de documents vidéo et multimédia. Maintenant professeur de cinéma au Cégep de l'Abitibi-Témiscamingue, il mène aussi de front de nombreux projets reliés à cette discipline artistique. En marge de son métier de professeur, il oeuvre présentement à la préproduction d'un documentaire sur le rappeur local «Anodajay».

Quoique natif de Rivière-du-Loup, Jacques Leclerc se dit originaire du Saguenay-Lac-St-Jean, là où il a grandi. Après avoir complété un baccalauréat en génie à l'Université du Québec à Chicoutimi, il débute sa carrière d'ingénieur consultant en Estrie tout en complétant une maîtrise en environnement à l'Université de Sherbrooke. Après un bref retour au Saguenay avec l'Alcan, il joint ensuite une division de Foresterie Noranda dans l'Outaouais. Il se qualifie maintenant d'Abitibien d'adoption depuis qu'il s'est joint à la Fonderie Horne en 1998 où il occupe le poste de surintendant du service de la prévention des accidents, de l'hygiène industrielle et de l'environnement. Passionné de livres d'histoire, de politique étrangère et de relations internationales, il s'intéresse particulièrement au Moyen-Orient et à la Russie. Les films étrangers retiendront sûrement son attention.