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Conseil permanent de la jeunesse
L'INEXPÉRIENCE DE L'ADQ UNE FOIS DE PLUS DÉMONTRÉE

(04/03/08) Le député d'Abitibi-Est et porte-parole du Parti Québécois en matière de jeunesse, Alexis Wawanoloath, reproche à l'Action démocratique du Québec (ADQ) son manque de compréhension et son inexpérience.

«L'attaque du député adéquiste Pascal Beaupré est vicieuse et sans fondement. Quand on ne connaît pas le fonctionnement du Conseil permanent de la jeunesse et son processus de nomination, on se tait», a d'abord fait savoir Alexis Wawanoloath.

Le député de l'ADQ soutient, dans un communiqué émis un le 29 février dernier, que le Parti Québécois aurait «manigancé» pour obtenir des sièges au Conseil permanent de la jeunesse (CPJ). Or, le processus est clair: pour être membre du CPJ, il faut d'abord soumettre sa candidature. Sur 40 candidatures, ce sont les membres sortants qui choisissent, par vote secret, les 15 membres, le premier ministre se gardant la prérogative de nommer le président. Des 15 membres, 13 participent bénévolement.

«Est-ce que M. Beaupré reproche à des jeunes qui militent dans un parti politique d'avoir à coeur l'intérêt de la jeunesse au Québec? Si c'est le message qu'il veut faire passer, on comprendra facilement que la commission jeunesse de l'ADQ n'est rien d'autre qu'une coquille vide», a poursuivi M. Wawanoloath.

«Mario Dumont voulait abolir le CPJ. Est-ce encore le cas aujourd'hui? Peut-être que le député Pascal Beaupré pourrait répondre à cette question. Ça serait intéressant de l'entendre parce qu'abolir le CPJ comme l'ADQ l'a déjà évoqué, c'est empêcher que des jeunes puissent influencer nos décideurs gouvernementaux, c'est bloquer l'accès aux jeunes dans nos débats de société. Est-ce que c'est ça que veut l'ADQ?», a conclu Alexis Wawanoloath.