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Cyclisme sur route en 2024
La Rouynorandienne Olivia Baril et ses performances au jour le jour
COMMUNIQUÉS  (Sportcom, M. Fontaine, L.-M. Lelièvre, Luc Turgeon) - 06/05/24

OLIVIA BARIL CYCLISTE DE ROUYN-NORANDA
 
 

La cycliste Rouynorandienne Olivia Baril en 2024.
  

Tour mondial féminin
Liège-Bastogne-Liège
La Témiscabitibienne Olivia Baril fini au 96e rang
21 avril 2024


L’Australienne Grace Brown (FDJ - Suez) a remporté Liège-Bastogne-Liège au sprint devant les vedettes du peloton, dimanche, en Belgique. Une autre membre de l’échappée du jour, la Néo-Zélandaise Kim Cadzow, sixième du jour, a pu compter sur l’aide de ses coéquipières québécoises Magdeleine Vallières et Clara Émond chez EF Education-Cannondale avant de prendre le large.

Brown a remporté le premier monument de sa carrière devant l’Italienne et récente gagnante du Tour des Flandres, Elisa Longo Borghini (Lidl – Trek) et la Néerlandaise Demi Vollering (SD Worx-ProTime), deux fois titrées à Liège-Bastogne-Liège. Un exploit encore plus remarquable pour Brown qui a failli chuter à la sortie d’un rond-point dans les derniers kilomètres pour ensuite puiser dans ses réserves et revenir sur la tête de course.

Simone Boilard (Uno-X Mobility), Vallières et Émond ont toutes rallié la ligne d’arrivée dans un groupe de 25 coureuses pour conclure la journée en 26e, 34e et 37e places avec un retard de 2 minutes sur la gagnante. Olivia Baril (Movistar) a quant à elle fini au 96e rang (+9 min 42 s).

PETITE LIGUE DE BASEBALL
 
 

Si on rapporte souvent des cas de traitement injuste envers des athlètes québécois au Canada anglais, on n'a pas ce genre d'exemples au Québec. Les athlètes du Canada anglais peuvent performer dans un climat loyal au Québec comme lors du Championnat canadien de la petite ligue senior à Rouyn-Noranda.
  

Cadzow, âgée de 21 ans, est sortie du peloton principal avec deux autres coureuses avec environ 100 kilomètres à faire. Le groupe de tête s’est agrandi à neuf coureuses qui ont bonifié leur avance à 3 minutes sur le peloton. C’est finalement l’équipe Lidl – Trek qui a pris les choses en main pour revenir sur les fugitives pendant que devant, Elise Chabbey (Canyon - SRAM) et Grace Brown ont assumé le travail. Cadzow a fait l’élastique à plusieurs occasions, mais elle a pu demeurer dans le groupe jusqu’au retour des favorites à la marque des 8 kilomètres à faire.

«C’était un peu risqué, mais c’était notre stratégie de l’envoyer en avant dès le départ », a reconnu Clara Émond, ajoutant que Vallières a aidé à positionner Cadzow pour que celle-ci saute dans l’échappée. « L’équipe est contente, car nous visions un top-10 ou un top-15, alors l’objectif est réussi. Sur le plan personnel. J’aurais aimé ça être capable de suivre les meilleures en avant, mais bon, c’est la semaine prochaine à la Vuelta (le Tour d’Espagne) que je pourrai vraiment tester mes jambes.»

JEUX DU CANADA 2017 EQUIPE DU QUEBEC
 
 

Au Canada anglais, le mépris envers le Québec peut prendre différente forme. Par exemple, un drapeau du Québec pastiche lors de cérémonies officielles comme ce fut le cas ici lors des Jeux du Canada 2017 à Winnipeg.
  

Simone Boilard est elle aussi restée un peu sur sa faim
«C’est l’accumulation des 12 montées qui rend la course aussi difficile. En ce moment, je n’ai juste pas les jambes pour être avec les dix meilleures mondiales. [...] (Finir dans ce groupe), c’est ce que je vaux présentement. C’était une journée correcte. Ce printemps, ce sont toutes des courses que je fais pour une première fois, alors c’est de l’apprentissage et des découvertes. J’aurais aimé avoir un plus gros résultat sur papier, mais j’ai quand même été constante, sauf à Strade Bianche et au Tour des Flandres. J’ai démontré que j’étais juste en arrière des meilleures.»

Émond, Vallières et Baril devraient toutes être au départ du Tour d’Espagne qui s’élancera le 28 avril à Valence, tandis que Boilard prendra une pause de trois semaines du circuit de compétition afin d’aller s’entraîner en altitude.

 


HUGO HOULE CYCLISTE QUEBEC
 
 

Le cycliste québécois Hugo Houle.
  

Tour mondial féminin
Le mois d'avril 2024 se poursuit en beauté pour la Témiscabitibienne avec une 12e place
Une belle course pour la Rouynorandienne Olivia Baril
17 avril 2024

Olivia Baril (Movistar) était bien positionnée au début de la montée finale de la Flèche wallonne, mais à la fin, ce sont les jambes qui ont parlé. Mercredi en Belgique, la cycliste de Rouyn-Noranda a été décrochée aux environs de la moitié de la terrible ascension du Mur de Huy pour ensuite être la 12e à rallier l’arrivée.

La Polonaise et deuxième du récent Tour des Flandres, Katarzyna Niewiadoma (Canyon / SRAM), s’est imposée devant la Néerlandaise Demi Vollering (SD Worx – ProTime) et l’Italienne Elisa Longo Borghini (Lidl-Trek) au terme de cette épreuve de 146 kilomètres.

OLIVIA BARIL CYCLISTE DE ROUYN-NORANDA
 
 

La cycliste Rouynorandienne Olivia Baril en 2024.
  

Vollering a forcé l’allure pendant presque toute la montée et la Québécoise n’a pu rester dans le groupe des six meneuses dans un passage à 19 % d’inclinaison. Le temps froid a fait en sorte que l’on pouvait voir le souffle des athlètes qui s’époumonaient dans l’ascension finale, où le trio de tête s’est détaché avec 250 mètres à faire. Niewiadoma est partie en solo 100 mètres plus tard et la championne du Tour de France 2023 n’a pas été en mesure de rester avec elle.

« J’ai essayé de faire de mon mieux et cela a donné une 12e place. Ç’aurait été le fun d’avoir un top-10 ou même un top-5, mais ce n’est pas si pire. Les conditions étaient vraiment difficiles aujourd’hui (mercredi), mais je me sentais quand même bien », a reconnu Baril, qui a accusé un retard de 32 secondes.

« C’était une belle course pour nous et nous avions Sara (Martin) dans l’échappée pendant toute la journée, ce qui nous a donné de la tranquillité dans le peloton. Nous avons été bien placées à tous les moments et c’était un bon travail d’équipe », a ajouté celle dont le meilleur classement sur ce parcours avant mercredi était une 16e place obtenue à l’édition 2022.

Équipe nationale du Japon au Tour de l'Abitibi 2018
 
 

Le Japon, présent au Tour de l'Abitibi en 2018, s'est désisté en 2019. Voir Cinq équipes se désistent.
  
Ce travail collectif s’est poursuivi une fois l’épreuve terminée. Dans une vidéo diffusée dans le compte X de l’équipe Movistar, on a pu voir Baril avoir la mine basse et recevoir l’accolade de sa coéquipière Mareille Meijering, qui lui a remonté le moral.

Les trois autres Québécoises inscrites, Simone Boilard (Uno-X Mobility, +45 secondes), Clara Émond (EF Education-Cannondale, +48 secondes) et Magdeleine Vallières (EF Education-Cannondale, +1 minute 10 secondes) ont respectivement fini 12e, 23e et 32e.

Olivia Baril sera au départ de Liège-Bastogne-Liège dimanche, toujours en Belgique.

« On n’annonce pas encore du beau temps et j’aime ça. Je pense que je vais faire une bonne course et avoir de bonnes jambes », a conclu l’athlète de 26 ans.

Notons que le Britannique Stephen Williams (Israel – Premier Tech) a remporté l’épreuve masculine au sprint devant le Français Kévin Vauquelin (Arkéa – B&B Hotels). Aucun Québécois n’a pris le départ de la course.

 


KAROL-ANN CANUEL
 
 

Revivez les performances de 2019 de l'Amossoise Karol-Ann Canuel (au centre sur cette photo) en cyclisme.

Tour mondial féminin
La course en or d'Amstel

Une interruption qui brise le rythme
14 avril 2024

Clara Émond (EF Education-Cannondale) était dans une échappée à deux et Simone Boilard (Uno-X Mobility) bataillait pour une position avantageuse dans le peloton lorsque l’Amstel Gold Race a été interrompue dimanche matin, avec 100 kilomètres à parcourir.

Un policier à moto qui supervisait la course aux Pays-Bas a été blessé lors d’une collision avec un véhicule. Il a dû être transporté à l’hôpital alors qu’une partie du circuit a été fermée pendant plus d’une heure. La course a repris sur le circuit final avec 54 kilomètres à parcourir.
Cette interruption a été difficile autant physiquement que mentalement pour les Québécoises qui ont tout de même été en mesure de conclure la course dans les pelotons de tête. Boilard a terminé 14e dans le premier groupe, alors qu’Émond a pris le 36e rang (+26 secondes).

Talia Birch boxeuse du Québec
 
 

Talia Birch du Québec est la première boxeuse médaillée d’or de l'histoire des Jeux du Canada.
 

« Je sentais que j’avais du momentum et en plus, on se préparait à attaquer une partie un peu plus compliquée de la course avant l’interruption. Ça change la dynamique de devoir attendre pendant une heure sur la piste et de se retrouver dans le final au sein d’un énorme peloton. Il y avait beaucoup de trafic à cause de ça, c’était un peu épeurant même », a avoué Simone Boilard.

« L’interruption est survenue à un moment crucial de la course, c’est assez déstabilisant, mais on apprend chaque fois. Il faut penser à continuer de s’alimenter même si on ne roule plus et il faut être prête quand on recommence », a-t-elle ajouté.

Olivia Baril (Movistar) a terminé 40e, dans le même groupe que Clara Émond. De son côté, Magdeleine Vallières (EF Education-Cannondale) a conclu l’événement au 53e échelon (+46 secondes).

Simone Boilard avait confié à Sportcom plus tôt cette semaine qu’elle n’était toujours pas au sommet de sa forme, notamment après avoir subi une commotion cérébrale au cours du dernier mois. Dimanche, la cycliste de 23 ans a toutefois affirmé que la forme semble de plus en plus au rendez-vous.

« J’ai eu des ennuis pendant les classiques, mais ça va mieux depuis deux ou trois courses. C’est une partie du calendrier qui est extrêmement difficile physiquement. Ça va de mieux en mieux, le personnel de l’équipe m’aide énormément et on se dirige vraiment dans la bonne direction », a conclu Boilard.

Boilard, Baril et Vallières seront au départ de la Flèche Wallonne mercredi en Belgique. Dimanche, EF Education-Cannondale n’avait pas encore annoncé si Clara Émond sera elle aussi de la partie.

 


Hugo Houle cycliste québécois de l'équipe Astana
 
 

Le cycliste québécois Hugo Houle. Revivez ses performances de 2019.

Tour mondial féminin
La Flèche brabançonne (1.Pro) Boilard terminé 20e sans être au sommet de sa forme
10 avril 2024

La cycliste Simone Boilard (Uno-X Mobility) n’a pas connu la journée de rêve convoitée lors de sa sortie à La Flèche brabançonne, en Belgique. Malgré ça, la Québécoise s’est classée 20e, ce mercredi, dans un peloton d’une quarantaine de coureuses qui a accusé un retard de 1 minute 6 secondes sur la grande gagnante, l’Italienne Elisa Longo Borghini.

« Les dernières semaines n’ont pas été 100% optimales au niveau de l’entraînement, donc je sens que je n’ai pas toutes mes capacités en course. J’ai vraiment essayé d’être efficace et de gérer mon énergie », a mentionné Boilard à Sportcom.

« Niveau équipe, ce n’était pas notre meilleure journée, mais il y en a eu des pires. »

Longo Borghini, de la formation Lidl-Trek, a uni ses forces à celles de sa coéquipière, Shirin van Anrooij, dans l’une des quatre ascensions de la montée de Moskesstraat. Elle a ensuite lancé une attaque à laquelle la Néerlandaise Demi Vollering (SD Worx – Protime) a répondu afin de rejoindre l’échappée du jour.

Dans ce parcours de 134,9 km, disputé entre Lennik et Overijse, la victoire s’est jouée lorsque Longo Borghini a su mettre les bouchées doubles en ne montrant aucun signe de fatigue, laissant ainsi Vollering derrière (+41 secondes), dans les 10 derniers kilomètres.


Charles-Étienne Chrétien lors du Tour de l'Abitibi de 2016
 
 

L'Amossois Charles-Étienne Chrétien (à droite sur cette photo d'archives) a complété le critérium au 5e échelon aux  Championnats canadiens 2019.

C’est donc en solo que la cycliste italienne, qui connaît d’ailleurs un excellent début de saison, a traversé la ligne d’arrivée à Overijse pour permettre à Lidl – Trek de signer sa neuvième victoire depuis le début de la saison.

Magdeleine Vallières (EF Education-Cannondale) a été la deuxième meilleure Québécoise du jour en terminant 36e, dans le même groupe que Simone Boilard, juste devant Olivia Baril (Movistar), qui elle, a fini 38e.

« Je n’avais pas les meilleures sensations, mais c’était prévu. J’espère que je ferai des bonnes performances aux classiques à venir », a mentionné Baril, qui prenait part mercredi à sa première course depuis le Trofeo Alfredo Binda disputé en Italie, le 17 mars dernier.

OLIVIA BARIL CYCLISTE DE ROUYN-NORANDA
 
 

La cycliste Rouynorandienne Olivia Baril.
  

De leur côté, Laury Milette et Joséphine Péloquin, toutes les deux représentantes de la formation Komugi – Grand Est, n’ont pas été en mesure de terminer la course, quatre jours seulement après leur participation à Paris-Roubaix.

Milette a abandonné à 77 kilomètres de l’arrivée alors que sa coéquipière, Péloquin, a chuté en début de parcours.

Simone Boilard et Olivia Baril reprendront l’action ce dimanche à l’Amstel Gold Race. Clara Émond (EF Education – Cannondale) sera aussi du départ.

 


Hugo Houle (à gauche) au 4 jours de Dunkerque
 
 

Hugo Houle (à gauche sur cette photo) à l'étape 3 des 4 jours de Dunkerque en mai 2014.
  

Tour mondial féminin
Trofeo Alfredo Binda
La Québécoise Olivia Baril au sprint final
17 mars 2024

La cycliste Olivia Baril (Movistar) a bataillé au sprint final du Trofeo Alfredo Binda comptant pour le World Tour féminin et s’est classée septième, dans le même temps que la gagnante, dimanche, en Italie.

L’Italienne Elisa Balsamo (Lidl – Trek) a remporté cette course pour la deuxième fois de sa carrière, elle qui s’était également imposée en 2022. Elle a devancé la championne du monde, la Belge Lotte Kopecky (SD Worx - Protime), et la Néerlandaise Puck Pieterse (Fenix - Deceuninck).

EQUIPE DE FRANCE AU TOUR DE L'ABITIBI
 
 

Des cyclistes de l'Équipe de France lors du Tour de l'Abitibi 2016.
Magdeleine Vallières (EF Education - Cannondale) a fini en 12e place (+2 secondes), tout juste derrière le groupe de tête au terme des 140 kilomètres de course.

Baril est demeurée bien calée dans le groupe de tête dans les derniers kilomètres de l’épreuve, car sa coéquipière Mareille Meijering a attaqué en solo à un peu moins de 6 kilomètres de l’arrivée. La Néerlandaise a pu ternir bon jusqu’à la flamme rouge avant d’être rejointe.

« C’est dommage qu’elle se soit fait reprendre. [...] Après son attaque, elle n’avait plus rien pour m’aider en vue du sprint où c’était technique avec 300 mètres à faire », a reconnu Baril qui n’a pu ensuite se positionner parfaitement dans le dernier droit.

EMMANUEL GAGNE TOUR DE L'ABITIBI
 
 

Emmanuel Gagné représente le mois de juillet, mois du Tour de l'Abitibi, dans La Dépêche numéro 69 spécial calendrier témiscabitibien 2016-2017.
  

« Je suis contente de la course d’aujourd’hui (dimanche), car je me sentais à 80% de ma forme je dirais, alors j’ai fait de mon mieux. En tant qu’équipe, nous avons bien couru et mes coéquipières m’ont toujours bien placée au début des bosses », a-t-elle ajouté en entrevue à Sportcom.

Plus tôt dans la course, Clara Émond (EF Education - Cannondale) a fait un numéro solo pendant une cinquantaine de kilomètres avant d’être reprise par le peloton. La Québécoise n’a pas rallié la ligne d’arrivée, tout comme Adèle Normand (Eneicat-CMTeam).

Émond a expliqué qu’elle a suivi la consigne d’équipe qui était d’attaquer. « Je pensais que d’autres filles allaient suivre, mais je me suis retrouvée seule. Je me doutais que ça n’irait pas jusqu’au bout, mais j’espérais que quand on reviendrait sur moi, le groupe serait plus petit. J’ai géré mon effort, mais finalement, je l’ai mal géré. Mais bon, ce sont des apprentissages », a convenu l’athlète.

Les cyclistes Antonin Corvaisier et Baptiste Lacroix
 
 

Antonin Corvaisier et Baptiste Lacroix de l'équipe de France lors du 51e Tour de l'Abitibi.

Baril en est à sa première année d’un contrat de trois ans au sein de la formation espagnole. Comme elle l’a souligné, l’adaptation à ce nouveau groupe se déroule bien pour elle, d’autant plus qu’elle fait partie du groupe réduit de coureuses qui sont protégées pour viser des victoires. L’athlète de 26 ans a d’ailleurs levé les bras deux fois depuis le début de la campagne.

« C’est le fun parce que je suis souvent une leader (protégée) chez Movistar et ça, je l’apprécie beaucoup. Ils reconnaissent que je peux être une bonne coureuse et avoir de bons résultats, ce que je n’avais pas la chance de faire chez UAE où je n’étais presque jamais leader », a poursuivi Baril.

« Je suis contente de ma position chez Movistar, même si des fois c’est lourd d’être leader chez une des meilleures équipes professionnelles au monde. J’en prends la responsabilité et je fais de mon mieux », a conclu celle qui mettra le cap sur la station française de Font Romeu pour un séjour d’entraînement de trois semaines en altitude en prévision des courses ardennaises.


 

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La Dépêche numéro 80La Dépêche numéro 80 consacre sa page couverture à la relance de l'usine de pâte kraft à Lebel-sur-Quévillon et en profite pour remettre les pendules à l'heure concernant l'impact des nouvelles technologies de l'information sur l'écologie de notre planète et sur notre santé.

Un grand dossier étoffé sur l'avenir prometteur du papier soutenu par une multitude d'experts du monde de l'économie, de la santé et des nouvelles technologies. À lire dans La Dépêche numéro 80.

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La Dépêche numéro 79La Dépêche numéro 79 vous propose de découvrir quelques-uns des films de la 38e édition du Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue. D'ailleurs, La Dépêche consacre sa page couverture au long métrage Une manière de vivre tourné, entre autres, à Radisson. Une occasion de se rappeler l'importance qu'occupe la Baie-James dans notre «manière de vivre» au quotidien.

Aussi, à ne pas manquer dans La Dépêche numéro 79, la suite de nos reportages sur les belles routes du Témiscamingue. Dans cette édition, parcourez la route entre Angliers et la baie l'Africain.

Puis, poursuivez notre tour du monde avec une vision témiscabitibienne. Dans cette édition, destination: l’immensité de l’océan Pacifique et ses îles paradisiaques, mystérieuses et légendaires comme l’île de Pâques, l’îlot de Pitcairn et les îles soeurs de Moorea et de Tahiti.

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La Dépêche numéro 78La Dépêche numéro 78 vous propose une édition spéciale sur l'enseignement collégial dans notre région.

La diversification de la clientèle que connaît le Cégep de l'Abitibi-Témiscamingue depuis les dix dernières années est tout à fait nouvelle et exceptionnelle.

Mais qu'est-ce qui attire ces étudiants internationaux tout comme ceux des premières nations?

Un dossier éducation qui débute par un tour d'horizon des principales caractéristiques de notre institution cinquantenaire qui est, de surcroît, aujourd'hui plus que jamais, au service de son milieu d'appartenance.

Un grand dossier éducation de huit pages à lire absolument dans La Dépêche numéro 78.

 

La Dépêche numéro 77La Dépêche numéro 77 vous propose la grande conclusion, sur six pages, de notre reportage sur un homme d'une endurance hors du commun: Pierre Gaultier de La Vérendrye.

Quelle belle histoire que celle de la famille de Pierre Gaultier de La Vérendrye qui oeuvra pour la Nouvelle-France avec une constance aussi réelle que celle caractérisant Samuel de Champlain!

Après s’être illustré héroïquement sur les champs de bataille en Europe et après des années passées à cultiver ses terres peu favorables de La Vérendrye (cf. La Dépêche numéro 76), il décide à 42 ans de changer de carrière. Il est à l’aube d’une fabuleuse troisième vie.

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La Dépêche numéro 68Dans La Dépêche numéro 68, Michel La Veaux nous parle plus en profondeur de son documentaire Hôtel La Louisiane.

Pour en savoir plus sur les personnages de son film et sur ce lieu magique dont les valeurs humaines qui s’en dégagent peuvent nous inspirer, procurez-vous La Dépêche édition 68.

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LA DEPECHE NUMERO 66Présent en 2015 au Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue pour Là où Atilla passe..., Roy Dupuis était également au Festival en 2014 pour présenter le film Ceci n'est pas un polar.

Toujours attaché à l'Abitibi-Témiscamingue où il est né, plus précisément à Amos, Roy Dupuis a bien voulu s'entretenir avec La Dépêche de choses et d’autres dans une entrevue exclusive que vous pouvez lire dans notre édition numéro 66.

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