PAGE D'ACCUEIL
      Sommaire      du numéro en kiosque
      Points de vente
      Abonnement
      Profil de La Dépêche
      Véhicule publicitaire
      
 
      
        
         
INFORMATION        CONTINUE
        Petites annonces
        Économie
        Sport
        Informatique
        Culture
        Concours
        Vos dépêches


        COURRIEL DE LA RÉDACTION
        ladepeche@ladepeche.qc.ca      
      
COMMENTAIRE
      Sondage sur les intentions      de vote
      
NDLR: Voici un commentaire concernant notre sondage Internet      de l'été 2002: pour qui voterez-vous lors des prochaines      élections générales au Québec?
      
(01/09/02) Concernant votre sondage,      il est d'ores et déjà assuré que mon vote      sera annulé. La raison en est bien simple, il n'existe      aucun parti qui soit digne de ce nom. Je veux dire par là      qu'aucun parti n'a clairement identifié sa position ni      énoncé de programme électoral. Le parti      libéral est dirigé par un opportuniste qui manque      de vision, le parti québécois vit présentement      de sérieux problèmes et le parti de l'action démocratique      ne possède que des idées empruntées à      des néo-libéraux qui ne possèdent aucune      vision à long terme et qui favorisent outrageusement une      classe de la société au détriment d'une      autre. 
      
C'est pourtant ce dernier parti qui représente la seule      alternative aux deux partis traditionnels mais qui en même      temps représente le plus d'inquiétudes. En      effet, si l'on parcourt leurs idées maitresses, on est      à même de constater que leur modèle est celui      des Américains qui, n'ayons pas peur des mots, est désuet      et obsolète. Les récents scandales qui touchent      les États-Unis ne sont guère le fruit du hasard.       À force d'encourager l'ambition personnelle au détriment      de la progression sociale, il est évident qu'Icare finit      par se brûler les ailes.
      
En somme, j'espère seulement que le dénigrement      de ses adversaires, que les fourberies, les perfidies, la duplicité      de trop d'hommes politiques, non ne cesseront, mais à      tout le moins diminueront.
       
      Benjamin Girard
      Rouyn-Noranda