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Trois prix pour Post mortem

(30/01/00) (28/12/02) Le film québécois Post mortem a remporté trois prix lors du Gala des prix Génie le 30 janvier 2000 à Toronto. Il s'agit du Génie pour le scénario original et celui pour la meilleure actrice: Sylvie Moreau. De plus, le jeune Louis Bélanger a remporté le prix Claude-Jutra qui récompense le réalisateur d'un premier long métrage. En décembre 1999 (La Dépêche numéro 19), notre journaliste Danièle Laforce nous présentait ce film dans sa chronique cinéma. Voici un extrait de son texte.

Avez-vous vu ce long métrage lors de la soirée de fermeture du Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue? Vous avez peut-être croisé le réalisateur de ce drame psychologique, Louis Bélanger lors de son passage au Festival? Post mortem est en fait le premier long métrage de ce jeune cinéaste. Et après avoir vu son film au Festival des films du monde de Montréal en août dernier, plusieurs critiques dont Normand Provencher du Soleil ont constaté: «La relève au cinéma québécois existe. Louis Bélanger et son Post mortem en sont la plus belle preuve.»

Inspiré d'un fait divers, Post mortem est une histoire en trois volets. On fait d'abord connaissance avec Linda ( Sylvie Moreau). Bonne mère de jour, elle se prostitue la nuit, à l'insu de sa petite fille Charlotte (Sarah Lecompte-Bergeron) et de sa mère (Hélène Loiselle). Tout semble bien aller jusqu'au moment où Linda rencontre un touriste américain qui s'en prend sauvagement à elle. De son côté, Ghislain (Gabriel Arcand), veilleur de nuit à la morgue, est un être reclus dont la seule fantaisie est l'écoute de sa collection de disque de blues. La rencontre de Linda et Ghislain a lieu dans des circonstances troubles. Qu'en est-il exactement? En entrevue à Christiane Charrette en direct en octobre dernier, Gabriel Arcand refusait d'en dire plus sur cette histoire. Il souhaitait que les gens aillent voir le film pour tout savoir. Je vous propose la même chose. Pour la manière de raconter et pour le rythme de Bélanger ainsi que pour le jeu des acteurs, il faut voir Post Mortem en salle ou en vidéo.

La reproduction de ce texte est autorisée sous réserve de la mention de la source et d'une autorisation de la direction du magazine La Dépêche.

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