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Les coulisses du 25e Festival
AU JOUR LE JOUR

 

Une entrevue avec Jacques Matte
à la tête du Fetival depuis 25 ans

JOUR 5 / 1er novembre 2006

UN RAÔUL DUGUAY GÉNÉREUX

Beaucoup de surprises émouvantes qui ont laissé sans voix plusieurs festivaliers ce midi au dîner du Festival.

D'abord, Raôul Duguay, malgré un emploi du temps hyperchargé en Abitibi-Témiscamingue cette semaine (tournage de vidéoclip, conférence, entrevues, etc.), il a quand même trouvé le temps et l'énergie pour réciter sa suite poétique intitulé Or je suis d'ici qui a reçu la semaine dernière le prix Félix-Antoine-Savard remis au Festival international de la poésie de Trois-Rivières et qui parle de l'Abitibi.

Quelle générosité et quelle énergie le chanteur poète a fait preuve tout au long du Festival, mais cet homme qui reconnaît aux Abitibiens beaucoup d'éthique est conséquent et a le sens du devoir:

«Ce poème parle de l'Abitibi. Ça n'aurait pas de sens de ne pas l'offrir aux gens d'ici.» 

Puis, il y a eu la très jolie révélation de la chanteuse issue de la première nation cri Melisa Pash.

Chantant en cri et en anglais, son talent d'artiste originaire de Chisasibi et qui habite maintenant à Val-d'Or a ému bien des gens.

Une jeune découverte qui est probablement à l'aube d'une brillante carrière.

 


UNE ORGANISATION
IMPRESSIONNANTE

Jacqueline Le May en est à sa première visite au Festival.

Elle accompagne son mari membre du jury pour le Prix Communications et société.

«Je suis très impressionné par l'organisation: la prise en charge pour les repas, les transports, l'animation pendant les dîners C'est très festif. Ça parraît que c'est pas le premier Festival

 


UN PUBLIC
EXCEPTIONNEL

«Seulement 10 minutes après le début des projections, on se rend compte que les gens dans la salle réagissent au bon moment, souligne Henri Pardo, un des jeunes réalisateurs de l'INIS qui vient tout juste d'arriver à Rouyn-Noranda. Ce n'est pas un public blasé. On ne voit pas ça partout.»